Oups, que la semaine est vite passée, et j’ai à peine eu le temps de venir sur mon blog. Je sais bien que je t’avais prévenu que je serais là moins souvent, mais ça fait quand même tout bizarre de pas pouvoir écrire tous les jours. Mais bon, faut faire des choix, les journées sont courtes, tu trouves pas ?

Il faut absolument que je te parle d’un truc qui m’a rendu folle de joie. Si ton enfant ne te fait jamais de câlins, ou de bisous, ne perds pas espoir, tout peut changer du jour au lendemain.

Je t’avais un peu raconté, non ? D’un côté, y a little boy, super affectueux depuis toujours, en ce moment, ça se calme un peu, disons qu’il va de temps en temps venir poser sa tête sur moi. Le temps de réaliser, de soulever ma main pour caresser ses cheveux tout raides, et il est déjà parti de l’autre côté de la pièce. Et puis, à côté, y a little girl, qui elle, depuis la naissance, refuse pratiquement tout contact. Dans les bras, elle ne tient pas plus de 3 secondes, et les câlins, c’est juste de temps en temps dans mes rêves. Et là, tu vas pas me croire, ça va faire 1 mois, elle s’est mise à me faire des gros câlins. Mais pas le câlin du genre je pose la tête 2 secondes, non, non, rien à voir, le câlin de grand. Par exemple, on est en train de jouer, je fais un truc qui la fait rire, et là, elle me regarde, souris, fais un gros cri de joie, et se jette sur moi, en serrant mon cou de ses 2 bras très forts. Très très fort. Ouah. Que c’est bien. Je crois qu’à chaque fois je pourrais en pleurer tellement ça me rend heureuse. Heu, folle, moi, mais non !

Attends, je te signale quand même, que depuis sa naissance, donc 18 mois, j’étais en manque grrrrrrrrrraaaaaaaaavvvvvvvve de ma fille, jamais de bisous. Alors, là, c’est juste, trop bon.

Alors, si t’étais dans le même cas que moi, voilà, tu sais maintenant que tout peut changer, et comme ça, du jour au lendemain.

Bon, par contre, que les choses soient claires, si c’est moi qui tente de m’approcher pour la serrer dans mes bras, je prend un gros vent accompagné d’un non, non, non de la tête, suivi d’un demi-tour pour aller le plus loin de moi. Faut pas trop en demander non plus… !