Qu’est-ce que la dyspraxie ?

Mon fils de 12 ans est dyspraxique et dysgraphique. Et nous avons mis plus de 5 ans à avoir le diagnostic. Grâce à des méthodes qu’il a développées (je ne sais pas vraiment lesquelles), il a su, au fil du temps, très bien compenser ses petits soucis qui sont, aujourd’hui, très peu visibles.
Je me rends compte que la dyspraxie, contrairement à la dyslexie, est très peu connue du grand public (le mot n’est toujours pas reconnu par le correcteur orthographique !), alors qu’elle toucherait plus d’1 enfant sur 100. Et pourtant, il y aurait autant d’enfants dyslexiques que dyspraxiques.

Personnellement, il m’est très compliqué d’expliquer à mon entourage les problèmes de mon fils et les raisons de ses suivis avec des professionnels depuis tant d’années (psychomotricienne, orthophoniste, et cette année, ergothérapeute). D’ailleurs, aujourd’hui, même pour moi qui fais beaucoup de recherches sur le sujet, ce n’est toujours pas très clair !

dyspraxiqueMais qu’est-ce que ça aurait pu m’aider de connaître la dyspraxie quand mon fils avait 5 ans ! Que de galères, de souffrances et de crises pour des maux que je ne connaissais pas. Je vais tout de même essayer de vous expliquer ce qu’est la dyspraxie d’une manière assez simple.On ne sait jamais, ça pourrait aider certains d’entre vous ! Et m’aider moi-même à mieux comprendre, en vous expliquant comment ça se passe pour mon fils.

 


Aujourd’hui, on parle de trouble de la coordination motrice.
Il n’existe pas une, mais plusieurs types de dyspraxies (dyspraxie constructive, visuo-spatiale, orofaciale, etc.).

Ce sont des anomalies de la planification et de l’automatisation des gestes volontaires. Le geste ne devient jamais automatique et nécessite toujours un contrôle volontaire extrêmement fatigant. Les gestes sont alors maladroits comme s’ils étaient réalisés pour la première fois.
Cela va entraîner un impact sur sa vie quotidienne ou ses performances scolaires. La dyspraxie est très souvent associée à d’autres troubles du comportement et de précocité. Cela  peut rendre le diagnostic très complexe, ce fut le cas ici avec un mélange de dyspraxie,  troubles de l’attention et EIP !

Les gestes complexes leur demandent un effort important. Exemples : ranger, utiliser des ciseaux, compas, règle, couverts…, colorier, s’habiller, etc.

Ici, on a commencé à se poser des questions quand mon fils avait 4/5 ans. Je ne comprenais pas pourquoi il ne voulait jamais faire de puzzle, de légos, découper ou colorier ! Pourquoi il avait autant de mal à s’habiller tout seul. Il était de même avec le sport, il était très maladroit et avait des  problèmes de coordination. Et, malgré l’alerte d’une maitresse sur des problèmes de motricité fine et un bilan psychomoteur, nous sommes passés à côté.

L’écriture manuelle est un geste complexe. C’est donc le geste qui restera le plus difficile chez les dyspraxiques et entraîne forcément une dysgraphie.


C’est là, en primaire, que tout a commencé à se corser pour nous. Mon fils faisait des crises de nerf terribles dès qu’il fallait faire des devoirs écrits à la maison. A l’école, pendant 5 ans, aucun enseignant n’a remarqué le souci ! Sauf que c’était bien là, toujours les mêmes remarques sur les bulletins « concentre-toi d’avantage et fais plus d’efforts à l’écrit, tu peux y arriver ! »
Alors nous, on lui demandait aussi de faire plus d’efforts, et de s’entrainer à écrire, encore et encore ! Comme je vous le disais, que de souffrances pendant ces années-là, tout ça parce qu’on ne connaissait pas « la dyspraxie ». Enfin, il a été suivi par une psychomotricienne vers 9 ans qui l’a aidé et nous a aidés à le comprendre, même si le diagnostic n’était toujours pas officiellement posé (sacrée compensation !)
Fini les devoirs écrits à la maison ! On faisait tout à l’oral à la maison avec lui et ça a changé la vie de TOUTE la famille.

L’enfant dyspraxique va être en grosses difficultés dès qu’il sera en double tâche (exemple : écrire et écouter l’enseignant). A ce moment-là, il sera plus lent et fera beaucoup d’erreurs. Mais bien sûr, chaque enfant est différent ! Pour le mien, pas de lenteur, mais de l’impulsivité et de la rapidité.

L’enfant dyspraxique ne comprend pas forcément ce qu’il écrit, ne peut acquérir aucune compétence en écrivant, fait beaucoup d’erreurs et s’épuise. Il faudra avant tout passer par l’oral.
C’est surement la partie la plus compliquée à comprendre, cette fameuse histoire de double tâche. Mais ça y est, on y est. Le diagnostic a ENFIN été clairement posé en 6ème.
En gros, quand il écrit (geste qui ne sera jamais automatisé et demandera toujours un effort), il ne peut pas, en même temps, penser à l’orthographe, la grammaire ou tout simplement réfléchir correctement.

L’enfant sera alors en situation d’handicap (invisible !), même s’il est très brillant ! On mettra alors en place des aménagements scolaires, c’est-à-dire des moyens de compensation.
Ici, un PAP a été mis en place cette année, en 5ème. Sur le principe, ça ne change pas grand chose. Il pourrait passer à l’ordinateur mais il ne veut pas. Il pourrait faire des photocopies des cours mais ne le fait pas. Il pourrait avoir un 1/3 temps en plus pour les contrôles mais il n’en a pas besoin car il finit toujours le premier, etc. Par contre, il n’est plus pénalisé ni sur le soin, ni sur les fautes d’orthographe et ça fait une sacrée différence avec la 6ème (si j’avais su, encore une fois !). Dans certaines matières, il peut aussi, lors d’un contrôle, avoir un exercice en moins que les autres. Il a été d’accord pour la première fois hier dans la matière la plus compliquée pour lui, l’anglais.

D’une manière générale, ce qui sera le plus important pour aider les enfants dyspraxiques à l’école :

  • Rendre les supports de cours plus accessibles (exemples : typo grosse et aérée, un exercice par page, etc.)
  • Compenser sa fatigue (exemples en fonction des difficultés : livres audio, cours polycopiés, favoriser les contrôle à l’oral,etc.)

Pour aider les enfants dyspraxiques, il faudra, avant tout, se focaliser sur leurs atouts, et croyez-moi, ils en ont ! Ils sont souvent très intelligents et très à l’aise à l’oral.
Ils ont des forces insoupçonnables et vont nous surprendre chaque jour !

On lit partout que la dyspraxie ne disparaît pas et persiste à l’âge adulte. Ici, de ce que je vois, les progrès sont incroyables. Il vous suffit de lire cet article que j’ ai écrit sur mon fils et le sport ! Alors, oui, l’effort, lui, ne disparaît pas. La double tâche et la fatigue qu’elle entraine non plus.
Mais, comme je le disais, TOUT EST POSSIBLE !

N’hésitez pas à partager ici vos doutes, questions et témoignages.

Liens utiles :
Fantadys : blog très riche avec des trucs astuces pour faciliter la vie au quotidien, et apprendre différemment
Dyscussions parents professeurs : groupe Facebook très réactif, qui a pour but de permettre une meilleure communication entre les parents et les professeurs sur les thèmes des troubles de l’apprentissage. Un groupe d’entraide entre les parents très précieux !
Et enfin, un lien pour suivre une conférence, animée par Caroline Huron,  extrêmement complète et enrichissante sur les enfants dypraxiques.

Mes enfants sont accros au sport

Je vous en ai déjà parlé à plusieurs reprises, mes 11 ans sont des fous de mangas, complètement accros. Ils passent des heures allongés sur leurs lits (après l’école et le week-end) à lire en boucle leurs 200 mangas qu’ils ont accumulés au fil des ans et impossible de les forcer à faire un tri. Ça me rend dingue de les voir glandouiller comme ça tout le temps, mais c’est vrai qu’ils compensent quand même bien avec le sport tous les 2 !
Je réalise seulement maintenant qu’ils sont également complètement accros au sport et qu’ils en font vraiment BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP !!!

Reprenons par le commencement :

A 4 ans, je les ai inscrits dans un petit club de mini-tennis à raison de 40 mns par semaine. Ils aimaient bien ça mais sans réelle passion. Et puis, pour être honnête, mon fils n’était pas très doué. D’ailleurs, d’une manière générale, il n’était pas du tout à l’aise avec le sport : que ce soit la course, la natation, le vélo, le foot, il a bien galéré.
Il avait du mal avec son corps, se mélangeait les bras et les jambes et avait un vrai souci de coordination. Sans rentrer dans les détails, on sentait bien que le sport n’allait pas être son truc.

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La rentrée au collège : petit bilan pour mes jumeaux

Le jour de la rentrée au collège, les parents étaient attendus avec les enfants dans la cour de récréation, pour se rendre ensuite à une réunion d’information.
Il y a tout de suite eu l’annonce des classes dans la cour. Au passage, très mauvaise idée de faire cela avec les parents, qui étaient encore plus stressés que les enfants. Toujours un peu inquiète pour le même, je l’ai vu se décomposer (et moi avec) quand nous avons entendu absolument tous ses copains être appelés dans la classe de sa sœur jumelle ! J’ai passé une sale journée, j’ai eu très peur des répercussions, lui qui n’est  motivé par l’école que par l’idée d’y retrouver ses copains. Et puis finalement, il va bien ! Il est fort et il s’adapte. Il n’a pas vraiment d’amis dans sa classe, il a du mal à voir les siens me dit-il, mais ça va, il gère.

2/3 jours après la rentrée, ma fille m’a aussi inquiétée. Elle qui n’est absolument jamais malade (contrairement à ses frères) a commencé à se plaindre de douleurs au ventre. Elle a même testé l’infirmerie le 3ème jour d’école. Et puis son comportement aussi avait changé brusquement. Elle s’énervait facilement et criait sur tout le monde, ce qui n’est pas du tout son genre. Elle pleurait même sans raison. Ouah, mais qu’est-ce que j’ai flippé ! Non, pas ma fille ! Elle m’a même avoué qu’elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Et puis, du jour au lendemain, c’est passé ! Surement un coup de blues ou de stress de rentrée, sans s’en rendre compte. Enfin, c’est passé, façon de parler ! Je crois qu’elle a débuté sa crise d’adolescence ! ou de pré-adolescence, disons… mais ça fait tôt !
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Mes amours, c’est la fin de l’école primaire…

C’est les larmes aux yeux avec une boule au ventre que je me rends compte que cette semaine, mes amours, sera votre dernière semaine dans cette école primaire. 5 années de votre petite vie, ce n’est pas rien. Vous y êtes arrivés hauts comme 3 pommes, si effrayés et si timides. Vous en repartez aujourd’hui si sûrs de vous, déterminés, fiers d’être encore pour une semaine les grands de l’école et de pouvoir aider les petits pour quelques jours… Et si fiers aussi de pouvoir tenir un stand à la kermesse de l’école (droit accordé uniquement aux CM2) pour cette dernière année.


primaire
CE2

Cm2

Quand je me retourne, je me dis que ça s’est plutôt bien passé, même si ça s’est passé bien trop vite !!! 5 années de primaire sans gros problème. 5 années dans des classes différentes avec pour tous les 2, un CP et un CM1 merveilleux !

Toi, ma presque 11 ans, cette (petite) fille si sérieuse (trop ?), studieuse, toujours prête à rendre service ou à aider les autres, tu as passé 5 années merveilleuses, sans aucune difficulté. Tu auras eu la chance de partir une fois en classe verte et une fois en classe de neige (d’ailleurs, ton frère aussi !). Cela t’aura sauvé de tes angoisses nocturnes et c’est surement ta plus grande victoire de ce primaire ! Je me rappelle encore de la lettre que tu nous as envoyée « Papa, Maman. Je suis super contente d’être ici. Je suis super contente parce que j’ai réussi… ».
Je suis fière de toi !

Tu es prête pour le collège, excitée mais un peu effrayée, m’as-tu dit. Comment sera le collège pour toi, qui aime tant tes habitudes et ton petit confort ? Je suis sûre que tu vas y arriver, je te fais confiance.

Je sais que tu as peur et que tu es triste de quitter ta meilleure amie et ton amoureux meilleur ami, mais ne t’inquiète pas, tu les reverras souvent.

N’aies pas peur, ça va aller, je sais que tu vas vite rebondir.

Toi, ma sensible, toi ma merveille, qui vient d’écrire ce petit mot si gentil à cette éducatrice qui t’aura tant appris pendant toutes ces années de primaire ! Merci à elle pour tout ça. Merci à toi de t’être autant investie dans toutes ces activités extra scolaires. C’était un bonheur de te voir  t’épanouir et grandir pendant ces 5 années (et un vrai étonnement, chaque fois que je te voyais partir à l’école le samedi matin pour faire ces ateliers).

Toi, mon presque 11ans, ce (petit) garçon si excité, si foufou, si dynamique et si joyeux. Tu m’as prévenu, à 4 ans, en moyenne section « Maman, je n’aime pas travailler ! Est-ce que je peux changer d’école car dans la mienne il y a vraiment trop de travail ! ». Au moins, les choses étaient claires dès le début.

D’ailleurs, j’en profite pour dire merci à cette merveilleuse institutrice de maternelle, qui a été la première, et presque la seule, à avoir décelé tes soucis de motricité fine. 3 ans après, on s’est rendu compte qu’elle avait bien raison !

Donc non, ça n’a pas été si facile pour toi, toi qui n’aime pas travailler et qui, en plus, dois faire des efforts supplémentaires pour réussir à te concentrer, toi qui a quand même bien galéré, à te retrouver presque à chaque fois, avec la mauvaise institutrice. C’est comme ça, ce n’est vraiment pas de chance mais franchement, tu t’en es vraiment bien sorti.

Je t’ai vu te battre, persévérer, faire tout ton possible pour te concentrer et voir avec admiration les résultats de ton travail. Oui, mon amour, c’est la règle, c’est la vie, on n’a pas vraiment le choix : il faut travailler pour y arriver. Regarde, en cette avant-dernière semaine de CM2 (il vaut mieux tard que jamais !), tu es si fier de cette bonne note que tu as eu grâce au travail que tu as fourni, et je le suis aussi. Fière de ta ténacité et de ta persévérance. Aujourd’hui, ton écriture est enfin lisible, pour toi et pour les autres, et c’est surement ta plus grande victoire de ce primaire. Je suis sûre que tu vas réussir encore à t’améliorer, aie confiance et ne baisse jamais les bras.

Et merci à toi, mon si gentil garçon, d’avoir été autant présent pour ta sœur en classe verte ! Mais s’il te plaît, arrête de l’embêter tout le temps ! Oh, et puis non, continue, ça ne serait plus pareil à la maison sinon !

Comment sera le collège pour toi ? Toi qui m’a dis exactement comme ta sœur, que tu étais excité mais un peu effrayé.
N’aie pas peur, ça va aller, je sais que tu vas y arriver. Je suis sûre que le collège va enfin te réconcilier avec l’école (ou pas 🙂 ) mais peu importe, ce changement ne pourra que te faire du bien et je suis sûre que tu vas t’y plaire et t’épanouir.

Je suis fière de toi, toi mon petit clown, si sensible et si timide, qui aime tant t’amuser et rire avec tes copains. Profite de la vie, tu as bien raison.

Merci, mes amours, pour ces merveilleuses années.

Je vous aime et je suis fière de vous !

La folie du mois de Juin

Je ne sais pas si c’est pareil chez vous, mais ici, c’est tout le temps la course au mois de Juin ! J’ai l’impression qu’on vit à 100 à l’heure, que tout s’enchaine, et surtout, que tout tourne particulièrement autour des enfants !

– Il y a les compétions de sport de fin d’année : gymnastique pour ma fille et handball pour mon mec.

Gymnastique
Et puis, comme ils le font avec leur école et que l’année prochaine c’est le collège, on court, on cherche, ils font des essais pour trouver un sport pour l’année prochaine, bien sûr, ils changent d’avis toutes les 5 mns sur ledit sport, et après « on » doit faire la queue 4 heures pour espérer avoir une place ! Vive le sport à Paris !

– Il y a les anniversaires des copains de l’école qui s’enchainent (et les cadeaux qui vont avec) qui regroupent tous les enfants nés en Juin, Juillet et Août, et forcément, comme mes jumeaux sont nés en Juillet, ils ont aussi voulu faire leur anniv en Juin pour avoir tous leurs copains.

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10 jours de classe de neige

Déjà 10 jours que mes jumeaux sont partis en classe de neige.

10 jours à penser à eux régulièrement, à me demander ce qu’ils font, ce qu’ils mangent, s’ils skient, s’ils s’amusent, s’ils ne sont pas trop fatigués, si ma 10 ans a vaincu ses angoisses nocturnes. 10 jours à cliquer tous les jours sur le fameux blog de l’école pour découvrir ou non des nouvelles, 10 jours à me précipiter sur la boite aux lettres.

Mais aussi 10 jours de tendresse, 10 jours de calme et de sérénité, 10 jours sans portes qui claquent, 10 jours sans cris, et surtout 10 jours sans devoirs ou crises de nerf.
10 jours sans aucun bruit après 20h30.
Mais surtout, 10 jours pour découvrir pour la première fois ce que c’est de n’avoir qu’un seul enfant dans une maison, 10 jours pour découvrir la vie à 3.

Que c’est bon, que c’est doux, que c’est facile.
Ce fut une belle découverte.

Et puis ce fameux week-end en tête à tête avec mon homme, normalement si dur à organiser avec 3 enfants à caser. 2 jours de tendresse, de soleil et de ballade.

Mais quand même 10 jours d’un sacré manque !

Mes grands bébés rentrent aujourd’hui et je suis folle de joie !

classe de neige

Le mois de février en vrac

Sérieusement ?! Elle nous fait un mois de Janvier en vrac, et elle ose revenir presqu’un mois après avec encore du vrac dans tous les sens, sans aborder un sujet précis, intéressant et réfléchi !
Et oui, c’est surement une preuve de mon manque de temps de ce dernier mois …je ne sais pas trop…mais en tout cas, ça sera en vrac.

Alors petit récap du mois de Février :

– Nous avons fait la visite en famille du musée en herbe pour découvrir Invader. Les 3 enfants (et nous-mêmes) avons beaucoup aimé, même si l’exposition est vraiment trop courte. A la suite de cela, nous nous sommes mis à rechercher des Invaders dans Paris et j’avoue que c’est le bon plan pour motiver les enfants à sortir de la maison. Pour les booster encore plus, nous avons téléchargé l’appli FlashInvader. Au final, c’est un peu le même principe que le Géocaching dont nous sommes vraiment fans, et donc idéal pour se balader avec les enfants sans qu’ils râlent.
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Le mois de Janvier en vrac

J’ai beau ne pas y croire (puisque j’ai l’impression que les dernières vacances étaient la semaine dernière) mais aujourd’hui, c’est déjà les vacances d’hiver pour la zone C, enfin ce soir. Plus que quelques heures avant… Bref, on se comprend.

Alors, en vrac, voici les dernières news du mois de Janvier :
– Comme promis, concernant « mon 3 ans et la nourriture » dont je parlais ici, j’ai fait le fameux test des 10 règles d’or à respecter par les parents dont l’enfant mange mal (je vous laisse retrouver les règles tout en bas de l’article). On a tout fait comme il était conseillé et c’est vrai, ça marche !!!!!!!!!!!!! Enfin, façon de parler, hein ! Puisqu’au final, il mange encore moins bien qu’avant (puisque nous n’insistons plus sur les légumes et le reste), il s’est nourrit uniquement de sucré et de fromage pendant le test. Par contre, c’est vrai que l’on se sent vraiment plus légers : beaucoup moins d’attente, d’énervement et de contrariété au moment des repas, et ça, c’est magique !
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Check-list de Septembre

Allez, une petite grande check-list de Septembre :

– Rendre mon presque 3 ans propre pendant la sieste. FAIT, un jour sur deux.

– Propreté pendant la nuit. PAS FAIT du tout.

– Organiser les allées et venues des activités extrascolaires des grands. PAS FAIT.

– Rendre mes grands les plus heureux du monde. FAIT, grâce au PAS FAIT juste au-dessus. Du coup, ils vont et reviennent de  leurs activités tout seul à chaque fois.
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Les gogos reviennent dans la cours de récréation

Au vu des grandes vacances et de la folie PokemonGo, j’étais sûre qu’à la rentrée scolaire, les cartes Pokémon allaient envahir les cours de récrés et les pensées de mes enfants, exactement comme il y a 2 ans et 4 ans.

Car c’est une loi mathématique : la mode des jeux s’arrête toujours pour mieux revenir quelques mois ou années plus tard, une fois que les enfants ont fini par vendre leurs jeux complètement démodés au vide grenier, et pour permettre ainsi aux parents quelques mois plus tard de parcourir tous les magasins de jouets du quartier, de la ville, voire du monde, pour retrouver à nouveau lesdits « jeux à la mode » qui sont forcément en rupture de stock un peu partout et ont disparu de la planète quand ils redeviennent à la mode.
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